Le 28 août, un projet de loi sur les diplômes a été soumis à l'examen du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale de la 14e législature. Ce projet de loi définit les responsabilités juridiques liées aux actes de faute académique commis par les titulaires de diplômes, tels que l'usurpation d'identité, l'utilisation de l'intelligence artificielle pour rédiger des mémoires, ainsi que les pratiques illégales de délivrance de diplômes par les établissements d'enseignement supérieur.
Il est notamment précisé que les titulaires d'un diplôme dont l'obtention serait liée à des actes de plagiat, de fraude, de falsification de données, d'utilisation de l'intelligence artificielle pour la rédaction, ou à l'usurpation d'identité, peuvent se voir retirer leur diplôme après examen par le comité d'évaluation des diplômes. Le projet de loi établit des lignes rouges claires et des sanctions pour les actes de faute académique, témoignant ainsi d'une volonté ferme de lutter contre ces pratiques.
Ceci revêt une importance capitale pour encourager les étudiants à étudier avec intégrité, à obtenir leurs diplômes honnêtement et à préserver l'équité et la justice dans le système des diplômes.